dimanche
22 avril
08h00 : L'Actu
par derrière le rendez-vous quotidien de la rédaction
09h00 :
L'ACCAAN présente
:
-
Papier
peint reportage
de Thierry Durand
-
Un
coup de pied dans la vase (rapport au sédiments)
reportage de Carl Persen et Paul Zira
-
Bien
en chair documentaire
d'Elisabeth Leverrier
-
L'esprit
est dans la ferme
documentaire d'Olivier Thiebaut
11h00 : Débat
en direct : Fatou la Malienne suite
13h30 : Désentubage
Cathodique :
Arrêt sur Images
14h00 :
L'Actu par derrière le rendez-vous de
la rédaction
14h30 :
Libre
Accès à Handicap International : Campagne
internationale contre les Mines
-
Le
Traité d'Ottawa, Histoire d'une Utopie
Le 4 décembre 1997, à Ottawa (Canada), 122
pays acceptaient de signer la convention sur l'interdiction
de l'emploi, du stockage, de la production et du transfert
des mines antipersonnel et sur leur destruction. Après
cinq ans de lobbying dipplomatique, la Campagne pour l'interdiction
des mines antipersonnel voyait son combat reconnu et récompensé.
Ce document retrace l'histoire de la Campagne Internationale
pour l'interdiction des mines. De la prise de conscience
d'une poignée d'ONG en 1992, jusqu'au Traité
d'Interdiction d'Ottawa et au Prix Nobel de la Paix 1997.
- Un futur incertain :
l'Angola entre Guerre et Paix L'Angola se relève
difficilement du chaos. Une paix fragile pour un pays ravagé
par trente années de guerre civile et où des
dizaines de milliers de victimes handicapées doivent
retrouver leur place. Réalisé en 1996
ce film retrace, aux détours des actions de Handicap
International, l'histoire d'un pays ravagé où
la présence de mines antipersonnel hypothèque
grandement tout retour à la paix pour les populations
civiles. Cinq ans plus tard, la situation dans ce pays est
toujours instable et son futur encore plus incertain.
- Si j'étais
Président d'Emmanuel Richardier. "Si
j'étais président, j'interdirais les mines",
tels sont les propos de ce jeune Bosniaque victime de l'explosion
d'une mine. Un vu pour le futur, car la présence
de mines dans cette région du monde va longtemps
se conjuguer au présent. Réalisé dans
le cadre de l'action du programme Handicap International
à Bihac (Bosnie Herzegovine)
- Traces de Guerre
Le Kosovo est le dernier conflit européen
en date où ont été utilisées
des mines antipersonnel. On peut y ajouter les munitions
non explosées des bombardements aériens qui
constituent autant d'obstacle à un retour à
la Paix. Handicap International, bénéficiant
de son expérience au Cambodge, Mozambique et en Bosnie
a, dès juillet 1999, formé une équipe
de démineurs locaux.
17h00 : Les
Marées Noires : émission en direct présentée
par René Vautier,
Greenpeace et le Collectif du Littoral (représentant[e]s
des forces indépendantes mobilisées pendant
et depuis le sinistre de l'Erika). Point sur les conséquences
des marées noires sur notre littoral, autour du film
"Marée noire, colère rouge" de René
Vautier réalisé suite au naufrage de l'Amoco
Cadiz une vingtaine d'années plus tôt et d'Erika
mon amour, de la MJC de la Lorraine
-
Marée
noire, Colère rouge, de René
Vautier Les Bretons, les pieds dans le mazout, mettent
en cause les moyens dérisoires mis en uvre
par le gouvernement lors de l'accident de l'Amoco-Cadiz.
Des pêcheurs, des scientifiques, des étudiants
dénoncent les intérêts politiques
en jeu, les lacunes des médias. Ce film, classé
au Festival de Rotterdam à la fois par le vote
de la critique et le vote du public "meilleur document
mondial filmé de l'année 1978", n'est
jamais passé sur une chaîne française.
-
Erika,
mon amour, réalisé dans le cadre
du festival Un Eté au Ciné par la MJC Lorraine
Eté 2000 : il y a presque six mois, coulait
le pétrolier Erika au large des côtes bretonnes...
Par delà l'image médiatique de la catastrophe,
un groupe de jeunes lorrains, accueillis par des jeunes
du Pouliguen, cherche à comprendre comment la marée
noire a été vécue par les habitants
de la région. Une expérience documentaire.
20h30 : L'Actu
par derrière rendez-vous de la rédaction
de Zalea TV
21h00 : Au
fil des Jours, de Raoul Sangla
Rendez-vous hebdomadaire avec Raoul Sangla, au gré
de ses rencontres. Raoul
Sangla se présente comme « le réalisateur
le plus remercié de la télévision ».
Pourquoi fut-il si souvent "remercié" ?
Sans doute parce qu'il s'obstine à ce que « les
acteurs de la réalité deviennent les acteurs
de la télévision ». En
savoir plus sur Raoul Sangla
21h30
: Le collectif
VIDÉORÈME présente :
-
Exil
à domicile, de Leïla Habchi et Benoît
Prin (1994) Des portraits d'Algériennes immigrées,
de trois générations de femmes qui ont traversé
la mer il y a trente ans. Avec humour et sans voile, elles
mettent une grande claque à tous les mysogines, racistes,
intégristes ... La grand-mère tient avec discrétion
son rôle (maintenir la mémoire) et passe son
temps à traverser la mer pour visiter sa fille, avec
chaque fois l'angoisse d'obtenir ou non son visa. Les filles,
Bakhta, Houria, et Messaouda, la soixantaine, tête nue,
belles d'en avoir tant vu, joyeuses, les mains dans la graine
à couscous, la pâte à gâteau ou
le tissu chatoyant des robes à coudre, sages, rebelles,
parlant des hommes avec une amicale et royale insolence, de
leurs filles naturalisées françaises avec une
tolérance désinvolte. La fille, justement, passe
sur le visage de sa mère et cette caresse vaut un long
discours, tout comme les quelques phrases de cette même
mère sur l'Algérie d'aujourd'hui ou sur le monde,
claires, intelligentes, lucides, généreuses.
-
J'peux
pas m'envoler, film d'atelier suivi par Leïla Habchi
et Benoît Prin Au 13, rue Guguay-Trouin à
Tourcoing, dans un immeuble du PACT, Muriel, Zegla, Christian,
Jean-Louis et les autres vivent avec leurs familles. Tous
ont connu des moments difficiles, la perte d'un emploi, d'un
revenu, d'un logement, de ce qui demeure indispensable pour
tout individu. Cette remise en cause de leur droit au logement
est ce qui les rassemble provisoirement. Au fil des jours
passés en commun, à l'initiative de quelques
locataires, un collectif d'habitants s'est créé.
Dans ce contexte, J'peux pas m'envoler est un film documentaire
mais aussi un travail d'atelier. Il n'était pas question
ici de faire un film sur les habitants mais de les accompagner
dans une démarche collective de fabrication d'un film
sur leur propre vécu.
-
Tout
va bien ! de Vidéorème, un film d'atelier
animé par Nadia Bouferkas et Mehmet Arikan, en partenariat
avec les élèves du Lycée Turgot de Roubaix.
Dans ce docu-fiction, les lycéens
prennent en charge leur propre parole et les difficultés
rencontrées dans ce lycée professionnel situé
dans une zone dite sensible. Le film se termine sur la visite
de Claude Allègre, ministre de l'Éducation nationale
de l'époque ...
4
Depuis 1991, le collectif Vidéorème (Roubaix)
produit régulièrement des documentaires sur les
réalités sociales, politiques et culturelles.
Ses actions occupent des champs divers tels que la production,
la réalisation, la diffusion et la mise en place d'ateliers
d'initiation et de réalisation documentaire. Les nombreux
films qu'ils réalisent sont diffusés dans des
lieux publics. Contact
: Mehmet Arikan
23h30
: A
l'Arrache émission
en direct par quatre jeunes vidéastes.
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